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mes image (31/08 14:53)
Je viens ici pour l'amitié tout simplement et surtout pas pour la guerre des blogs. Non plus pour des imbéciles qui te font croire qui sont des amis sincères et sans pudeur te salissent derrière ton dos comme certains. J'ai construis un blog pour l'amitié sincère et durable pour les bons et les mauvais moments de la vie de chacun et sans hypocrisie. Je suis là tout simplement pour aimer et être aimée…Mon amitié est sincère. Je suis une femme qui n'aime pas les guerres sur les blogs ni les embrouille et je ne veux pas que l'on m'en procure. Ceux qui viennent pour poser des problèmes sans les avertir je les exclu de mon univers sans détour et sans pitié. Je voudrai aussi éviter les chaines, sauf évidemment les articles à faire suivre pour les malades. °*°*Ce sont mes amis qui m'ont fait aimer la vie. Ils me rendent meilleur à mesure que je les trouve meilleurs eux-mêmes... °*°* Amour...Amitié…Fraternité…Partage Merci à vous et bonne visite, merci de votre compréhension, Barbara…

SI TU ES UNE VRAIE AMIE TU PEUX FAIRE CELA: UNE PERSONNE HANDICAPEE N'EST PAS CONTAGIEUSE ELLE DEMANDE JUSTE QU'ON L'ACCEPTE TELLE QU'ELLE EST DANS LA SOCIETE. 97%DES PERSONNES NE COPIERONT PAS CETTE ANNONCE ET NE L'UTILISERONT PAS COMME STATUT, SERAS TU COMME MOI L'UNE DES 3% A AFFICHER CE STATUT AU MOINS PENDANT 1HEURE SUR TON BLOG OU SUR TON PROFIL
Samira et Barbara amies pour la vie...











































































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Pour s'envoler
16/10/2005 12:21
Pour s'envoler
Un aigle, un jour, avait pondu son oeuf dans un poulailler. L'aiglon vint au monde à la basse-cour entouré de poussins. Il appris donc à faire comme eux. Il picora la terre, tournait en rond dans le poulailler, ne volait jamais à plus d'un mètre de haut.

Mais un jour, un aigle qui planait dans les airs l'aperçut. Il descendit près de l'aiglon, lui révéla sa vraie nature, "Tu es un aigle, lui dit-il".

Tu es capable de bien plus de ce que tu fais là. Tu peux atteindre le sommet des montagnes si tu oses prendre ton envol. Suis-moi, je t'emmènerai au bout de toi-même. Je ferai grandir ce qui dort en toi.

En entendant cela les poules se mirent à ricaner. Mais ce qui retenait surtout l'aiglon, c'était la peur qu'il portait en lui-même. Où cela le mènerait-il? Finalement, il ne manquait de rien dans son poulailler.

Il y trouvait tout: la nourriture, la sécurité, tout sauf l'essentiel: son vrai lui-même! Il ne pourrait devenir un aigle tant qu'il demeurerait dans la basse-cour.

Quelle est la morale de cette histoire?
Plus encore que l'aiglon, le petit de l'homme n'a-t-il pas à découvrir son identité pour se réaliser et assumer son rôle d'adulte dans la société?

Et qui de mieux que les parents pourraient amener, pas à pas, leur enfant à prendre son envol comme être sexué, appelé à entrer dans le grand mouvement de l'amour?

Mais encore faut-il que les parents s'y connaissent et assument leur vraie vocation parentale et aussi que le monde laisse aux parents la possibilité d'assumer cette vocation qui leur est propre...
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pour Babylou
16/10/2005 11:17
"Juste une petite prière pour baby......
faite-le tous et toutes....
parce qu'ensemble, les ondes seront plus fortes...."
"Prenez la flamme chez vous...
une chaine de chaleur pour que la vie
en elle se rechauffe...."
Un petit bout de femme qui attend de donner la vie, elle ne demande pas la lune, juste le bonheur d'être maman ...
"L'esperance ne nous apportera pas ce que nous espérions, mais ce que nous n'espérions plus."
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Liberté
16/10/2005 11:03


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Le gouffre
16/10/2005 09:53
Le gouffre
Image de fin du monde!
Gouffre sans fond, gouffre éternel... Un océan s'y déverse, entraînant avec lui des éternités d'espoirs décus!
J'y vois la fin d'un monde de douleur et de ténèbres.
J'y vois les larmes de tous mes enfants de la terre s'y laisser submerger. J'y vois les coeurs décus, les âmes avides de tendresse à jamais incomprises.
J'y vois les éternelles inquiétudes des mamans fatiguées, trouvant enfin un endroit pour s'éteindre.
J'y vois les guerres, celles du passé, celles du futur, disparaissant dans le gouffre, rugissant leur haine contre la Vie, contre l'Amour.
Les pleurs de ceux que j'aime qui n'en finissent pas de languir après le bonheur!
J'y entends les pleurs des enfants battus.
Des enfants mal aimés, j'entend le silence du vide en eux.
Des enfants qui ont faim , je vois les ventres gonflés.
J'y vois les millions de mines tueuses attendrent avec avidité un corps à déchirer.
J'y entend les mots, tristement cruels, d'un père se perdre dans l'abîme après avoir déchiré pour la dernière fois l'âme d'un enfant..
J'y vois les promesses non tenues... les mains tendues en vain vers des coeurs aveugles et sourds.
J'y vois les énormes champignons de feu de nos pires cauchemars.
J'y vois des gens de partout errant à la recherche d'un refuge après avoir perdu leur terre natale.
J'y vois la peur dans les yeux de ma mère disparaître vers où, je m'en fous! Pourvu qu'elle ne revienne pas!
J'y vois s'engouffrer la fatigue de tous ces gens revenant du boulot, le visage éteint, vers un foyer où règne la discorde...
Le désir illusoire de vouloir changer le monde.
J'y vois cette eau que je bois pour me désaltérer emporter avec elle le poison qu'elle contient...
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